Depuis l'entrée en vigueur du GDPR en 2018, Demandes d'accès de la personne concernée (DSAR) sont devenus un outil essentiel pour permettre aux individus d'accéder aux données personnelles les concernant. Cependant, cinq ans plus tard, les régulateurs sont aujourd'hui débordés. Selon des rapports récents de Autorités européennes de protection des données, y compris les ICO (ROYAUME-UNI) et CNIL (France), il y a eu une forte augmentation des plaintes en ce qui concerne les DSAR - en particulier en ce qui concerne les non-réponses ou les retards des entreprises.
Alors que le GDPR impose un délai de réponse d'un mois (pouvant être prolongé de deux mois dans les cas complexes), De nombreuses personnes attendent maintenant de 12 à 16 semaines pour que leurs plaintes soient prises en compte. revu par l'organisme de réglementation - et encore moins résolus. En Irlande et en France, les retards sont attribués à un manque d'efficacité de l'organisme de réglementation. Augmentation du nombre de plaintes déposées auprès du DSAR par les employés, les consommateurs et les utilisateurs numériques - notamment en ce qui concerne les grandes plates-formes technologiques.

Pourquoi cela se produit-il ?
- Surcharge de volume: Une sensibilisation accrue et des outils DSAR faciles à utiliser ont entraîné un afflux de demandes d'accès.
- Goulets d'étranglement réglementaires: Des autorités comme la EDPB, ICOet DPC disposent d'un personnel limité et donnent la priorité aux enquêtes à grande échelle.
- Réponses inadéquates des entreprises: De nombreuses organisations retardent les demandes, les expriment de manière excessive ou les ignorent, ce qui suscite des plaintes de la part des utilisateurs.
- Complexité transfrontalière: Les demandes impliquant des entreprises multinationales prennent plus de temps en raison de la coordination juridictionnelle.
Ce que cela signifie pour les particuliers et les organisations
Pour les particuliers, cela signifie que même après avoir déposé une plainte, il peut s'écouler un certain temps entre le dépôt de la plainte et la réception du courrier. mois pour obtenir une décision ou la résolution. Pour les organisations, cette tendance met en évidence l'urgence de renforcer les processus internes de la DSAR - Les retards ne sont pas seulement un problème de réputation, mais aussi un problème de sécurité. risque juridique.
⏱️ À emporter: Si vous déposez une plainte pour un DSAR mal traité, attendez-vous à une période d'attente de 16 semaines ou plus dans de nombreuses juridictions de l'UE. La patience est essentielle, mais elle ne dispense pas les organisations de respecter les délais.
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